Le LARCA doit rester, en cette période difficile, un lieu d’échanges, un espace de communication et un instrument d’entraide

Publié le 6 avril 2020

Le LARCA doit rester, en cette période difficile, un lieu d’échanges, un espace de communication et un instrument d’entraide, via les listes de diffusion, les mails, le téléphone. La situation n’est pas la même pour chacun d’entre nous, nous pensons en particulier à ceux et celles en charge d’enfants, d’adolescents, de parents ; à ceux et celles qui sont loin de leurs proches ; dont la ligne internet n’est pas très bonne ; à tous ceux et celles qui, parmi nous, pour des raisons diverses, sont encore plus fragilisé.e.s par la crise épidémique et le confinement nécessaire. 

La recherche est aussi ce qui nous lie, elle peut nous permettre de surmonter les circonstances difficiles que nous vivons,  de contribuer à mieux les comprendre, à réfléchir à d’autres moyens d’envisager les actions collectives face à une situation à bien des égards inédite, mais que l’histoire, la littérature, les arts peuvent éclairer. Il est important que ceux et celles parmi nous qui en ont l’énergie, les possibilités matérielles, et le désir poursuivent leurs travaux, individuels mais aussi collectifs. Penser ensemble est aussi un moyen de résister, et de ne pas se laisser gagner par la détresse.

Cécile Roudeau, Clarisse Berthezène, les membres du Conseil, restent à votre disposition. N’hésitez pas à nous faire part de vos questions ou suggestions sur les manières dont nous pourrions vous aider en ces moments compliqués où l’on redécouvre les ressorts de la solidarité. Jean-Marie Boeglin, qui est un relais essentiel pour le laboratoire, sera joignable par mail. Nous l’en remercions infiniment.

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