Thomas Lawrence
Le génie du portrait anglais
Publication | Critiques
Résumé
Au tournant du XIXe siècle, l’école d’art anglaise atteint une forme d’apogée sur la scène artistique européenne. Alors que J.M.W. Turner (1775-1851) excelle dans le genre du paysage, Thomas Lawrence (1769-1830) porte l’art du portrait à de semblables sommets de créativité et d’inventivité. Enfant prodige, il succède à Joshua Reynolds comme « peintre ordinaire de Sa Majesté » le roi George III à l’âge de 18 ans et devient rapidement le principal portraitiste de son temps, élu à l’unanimité président de la Royal Academy of Arts en 1820. En 1814, le Prince Régent lui commande une série de portraits de toutes les personnalités européennes ayant contribué à la défaite de Napoléon. Aujourd’hui exposées dans la Waterloo Chamber du château de Windsor, elles offrent un témoignage exceptionnel de l’incarnation du pouvoir au début de l’Europe moderne. Lawrence est également un remarquable observateur de la société de la Régence, avec une sensibilité exceptionnelle pour les représentations intimistes de femmes et d’enfants, à l’huile, au pastel ou à la craie, qui explorent de manière unique les fragilités de l’âge et du genre. Le présent ouvrage offre une étude complète de l’art de Lawrence et apporte un nouvel éclairage sur le travail et la personnalité de l’un des artistes les plus secrets et les plus doués du romantisme européen.
Environ 400 illustrations.
Critiques
- “This important volume from an authoritative international team of authors sheds significant new light on the comparative development of post-war Conservatism in the western world.”
– Stuart Ball, Professor Emeritus, University of Leicester, UK - “The rich essays collected in this illuminating volume show that the rise of right-wing politics in the United Kingdom, the United States, and France since the 1970s was a remarkably transnational phenomenon. As they attacked social democracy and cultural pluralism, right-wing movements borrowed ideas, visions, vocabularies, and tactics from each other, adapting them to their own national idioms and using advances in one country to win advances elsewhere. Anyone interested in confronting the problems that have proliferated in the wake the right’s reconfiguration of politics – surging inequality, belligerent ethno-nationalism, worker disempowerment and insecurity, and lost faith in the capacity for democratic self-government – has much to learn about the origins of these problems from this important book.”
– Joseph A. McCartin, Georgetown University, USA, author of Collision Course