Histoire de la presse italo-américaine
Du Risorgimento à la Grande Guerre
Publication | Critiques
Résumé
Le journalisme américain est à l’image des hommes et des femmes qui ont construit les États-Unis : multiculturel et plurilingue. Au gré des vagues d’immigration, il s’est enrichi de milliers de périodiques en langue étrangère, en anglais ou bilingues qui narrent de l’intérieur le parcours des communautés dont ils sont issus. Née sous la plume d’exilés révolutionnaires qui cherchaient en Amérique à la fois un refuge et une tribune d’où influer sur le sort de leur patrie, la presse italo-américaine se mua en une presse d’immigration plus classique reflétant les transformations, les succès et les difficultés des immigrés italiens qui s’installèrent aux États-Unis.
Le journalisme américain est à l’image des hommes et des femmes qui ont construit les États-Unis : multiculturel et plurilingue. Au gré des vagues d’immigration, il s’est enrichi de milliers de périodiques en langue étrangère, en anglais ou bilingues qui narrent de l’intérieur le parcours des communautés dont ils sont issus. Née sous la plume d’exilés révolutionnaires qui cherchaient en Amérique à la fois un refuge et une tribune d’où influer sur le sort de leur patrie, la presse italo-américaine se mua en une presse d’immigration plus classique reflétant les transformations, les succès et les difficultés des immigrés italiens qui s’installèrent aux États-Unis.
Bénédicte Deschamps est maître de conférences à l’Université de Paris en civilisation américaine et membre du LARCA – Laboratoire de Recherches sur les Cultures Anglophones (UMR 8225)
Critiques
- “This important volume from an authoritative international team of authors sheds significant new light on the comparative development of post-war Conservatism in the western world.”
– Stuart Ball, Professor Emeritus, University of Leicester, UK - “The rich essays collected in this illuminating volume show that the rise of right-wing politics in the United Kingdom, the United States, and France since the 1970s was a remarkably transnational phenomenon. As they attacked social democracy and cultural pluralism, right-wing movements borrowed ideas, visions, vocabularies, and tactics from each other, adapting them to their own national idioms and using advances in one country to win advances elsewhere. Anyone interested in confronting the problems that have proliferated in the wake the right’s reconfiguration of politics – surging inequality, belligerent ethno-nationalism, worker disempowerment and insecurity, and lost faith in the capacity for democratic self-government – has much to learn about the origins of these problems from this important book.”
– Joseph A. McCartin, Georgetown University, USA, author of Collision Course